Ou l’inverse….

Josephine

Chez nous ce fut plus 4 ans d’emmerdes et 9 mois de bonheur…..

Mais on ne se plaint pas…

On a la chance d’avoir notre parcours dernière nous et une Wonder dans notre vie…

Merci…

 

PS : Je crois que j’aurais maudit cette affiche il y a 4 ans…

Du coup, j’ai une pensée pour toutes les pmettes en activité!

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6 Replies to “Ou l’inverse….”

  1. Effectivement je n’irai pas voir ce film actuellement (ni même plus tard …) j’en suis à 3 années d’attente et d’échecs (et ça peut encore durer d’ailleurs) , et je n’irai plaindre aucune femme enceinte, ni même la féliciter tant la douleur est immense. Mais cela je sais que tu le comprends personnellement. Cela fait toujours du bien de ne pas se sentir seule à connaître ces sentiments là, même si on ne les souhaite à personne. C’est une grande injustice de ne pas arriver à faire un enfant “facilement” … Bisous

    1. Ton commentaire m’a mis les larmes aux yeux… Je me suis rappelée l’immense trou de détresse dans lequel j’étais.
      J’ai envie de t’envoyer beaucoup de courage et de te dire que parfois, la roue tourne… Et qu’après, tout parait si loin… Il reste une petite cicatrice mais elle est en dessous de tant d’amour…
      Par contre, j’ai toujours du mal à féliciter sincèrement une femme enceinte, donc je te comprends…
      Courage, confiance et espérance.

      1. Merci pour ton message qui a mon tour, m’émeut profondément … Merci pour ton soutien, ta compréhension surtout. C’est si bon de se sentir comprise par quelqu’un qui a vécu “la même chose”, même si chaque expérience est évidemment différente.
        Le temps passe et chaque jour est douleur, mais pas (encore) renoncement. On s’accroche, je me bats, on oscille entre espoir et désespoir, et puis, évidemment on souffre, de voir “les autres”, qui à la quarantaine tombent enceintes “comme ça”, dès le premier coup. Le comble quand on est censée être au top de sa “fertilité” …
        Voire les fameux “bébés accidents” (comme j’aimerais tant que cela m’arrive aussi !!!) … La douleur est immense.
        Cependant, je mesure tellement ma chance d’avoir mes deux amours, que s’en est presque plus douloureux, de ne pas “pouvoir”, de ne pas “arriver à”, quand on connaît cela, le désir me paraît presque plus fort, et puis ce sentiment d’échec qui s’enracine … Tout ce temps qui passe et les enfants qui grandissent, je ne peux m’empêcher de penser, parfois, que je m’éloigne de ce rêve d’agrandir notre petite famille. Mais je ne suis pas à plaindre, je pense à toutes ces femmes qui ne sont pas encore mamans, et qui, peut être, n’y parviendront jamais. Je pleure pour elles … et je m’efforce de garder à l’esprit que je suis, malgré tout, malgré cela, passée derrière la barrière, il y a 5 ans et demie déjà … c’est un tel soulagement, malgré ma peine en ce moment.
        Pardon d’avoir fait renaître des émotions chez toi que je connais que trop bien, et qui font tant de mal … C’est inhumain d’être soumise à ça, si longtemps. Je suis très heureuse pour toi que ta Wonder soit enfin là.

        Bisous

        1. Désolée pour le roman ! Bisous

  2. Merci de l’écrire, ce sont des choses difficiles à comprendre/garder en tête quand on n’a pas vécu de parcours de pma.

    1. Je crois que comme beaucoup de chose, on ne peut pas vraiment comprendre si on ne passe pas par ce chemin.
      On peut deviner, avoir de l’empathie, mais pas vraiment comprendre.

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